FORTUNE DE FRANCE
Tant attendue, la saga "Fortune de France" sort cette rentrée sur France 2, en prime time et en replay. Grâce au réalisateur Christopher Thomson et au Producteur Jean Cottin, cette série a pris racine dans les lieux mêmes du Périgord qui avaient inspiré l’écrivain Robert Merle. L’histoire bouleversante et chevaleresque d’une famille anoblie qui cherche à survivre dans un monde déchiré entre catholiques et protestants donne matière à une grande fresque cinématographique qui touchent aux problématiques les plus actuelles.
Julien Saraben, croqueur de Périgord
Il fut celui qui donna un visage à notre célèbre Jacquou, étendard de la révolte paysanne si bien racontée par Eugène Le Roy. Julien Saraben, artiste complet fut aussi un formidable professeur de dessin.
SENTIR BATTRE LE CŒUR D'UN MUSÉE
Une expérience immersive dans les coulisses du Musée national de Préhistoire
S'inscrivant résolument dans la thématique « les coulisses de l'archéologie » définie par l'INRAP pour l’édition 2021 des Journées européennes de l'Archéologie, le Musée national de Préhistoire a proposé aux visiteurs de venir sentir au plus près battre le cœur de leur Musée, au gré de deux parcours intimistes : l'un dans le dédale des vestiges du vieux Château des Eyzies, enchâssé par l'actuel Musée, et l'autre dans les réserves où seuls les scientifiques ont en principe le privilège d'entrer.
COMME UNE POUSSIÈRE D'ÉTOILES JETÉE AU FIL DE L'EAU
Trois regards fraternels entremêlés, ceux du peintre écrivain François Augiéras, du poète Paul Placet et de Philippe Pons, photographe plasticien, nous donnent à voir jusqu'au 5 janvier au Pôle international de la Préhistoire des Eyzies une relecture intérieure du paysage, de la vallée de la Vézère au Sarladais, au fil des saisons. Ces images-poèmes expriment « des sentiments et visions extatiques et chamaniques face aux lieux traversés », comme le confie doucement Philippe Pons à la foule amicale qui entoure sa déambulation aux côtés de Paul Placet, au milieu de leurs communes créations. L'instant est apaisé, suspendu, baigné par le soleil qui toujours en ce lieu nous berce dans le couloir des anges imaginé par l'architecte Raphaël Voinchet.
LES AILES DU DÉSIR CARESSENT LE PÉRIGORD en avril sur FRANCE 3 SUD OUEST
C'est un oiseau, une caméra sur le front, l'autre sur le ventre. Au sol, un pilote chevronné reçoit son image frontale et peut ainsi entrer dans les plumes de l'oiseau et « tenir le manche ». La seconde, orientable, filme ce que le chef opérateur choisit de cadrer depuis ce point de vue plus encore qu'aérien, céleste, volatile, capable de décoller comme une fusée, tournoyer comme une buse ou fondre comme un faucon sur sa proie, bref, capable de voler follement dans le grand bal des oiseaux. Alors, le regard du spectateur décolle, vibre, palpite jusqu'au vertige, parfois.
LE DERNIER PAYSAN PRÉHISTORIEN Prix du Meilleur Film pour la Recherche Créative au Festival ICRONOS de Bordeaux
Après son avant-première au Pôle International de la Préhistoire, trois fois renouvelée en raison de son succès, après sa sortie nationale grâce à la revue Sciences et Avenir dans son numéro consacré aux berceaux de l'humanité, après avoir été sélectionné par le Festival du Film d'Archéologie d'Amiens et avoir reçu la Mention Spéciale du Jury au Festival Objectif Préhistoire du Pech Merle, ce film tourné dans une ferme et une grotte du Périgord noir, LE DERNIER PAYSAN PRÉHISTORIEN de Sophie Cattoire, vient de décrocher le Prix de la Recherche Créative au Festival ICRONOS de Bordeaux, tandis que son succès dans les salles continue d’entraîner Gilbert Pémendrant, son héros central, dans la plus belle aventure de sa vie.
LE DERNIER PAYSAN PRÉHISTORIEN
Mention spéciale du Jury au festival Objectif Préhistoire du Pech Merle
Du 5 au 7 juillet 2012 s'est tenu au Pech Merle dans le Lot le premier Festival du Film de Préhistoire. 45 films en compétition ont fait venir 1600 visiteurs dans le Musée de Préhistoire aménagé au dessus de la grotte ornée du Pech Merle. Une splendeur peinte par nos ancêtres il y a 25 000 ans où se succèdent silhouettes féminines, bisons, mammouths, chevaux tachetés et mains négatives. Le succès de cette première édition atteste de l'intérêt très largement partagé pour la recherche de nos origines.